Hommage

Il faut prendre le temps comme il vient, Les gens pour ce qu’ils sont,
Et l’argent pour ce qu’il vaut.

Un astrologue un jour se laissa choir
Au fond d’un puits. On lui dit : « Pauvre bête,
Tandis qu’à peine à tes pieds tu peux voir,
Penses-tu lire au-dessus de ta tête ?

Si l’on veut voir les choses d’un autre œil, déranger l’éléphant qui entrave la vue n’est pas une mauvaise idée.

A un zèbre sans rayures manque un signe distinctif essentiel de ce qui en fait un zèbre, comme l’illustre bien le dessin de Pierpaolo.

On connaît la propriété du boomerang : il « retourne à l’expéditeur », si rien ne l’arrête dans sa course. Voilà pour la théorie, car dans la pratique, les choses ne sont pas aussi simples. Sachant que le boomerang est une arme de jet, il présente, s’il se retourne, un danger certain : on peut perdre un œil en ne le rattrapant pas comme il faut.

Ce proverbe fait écho au proverbe chinois que nous avons vu il y a quelques semaines : « Ne crains pas d’avancer lentement, crains seulement de t’arrêter. »

Personne assurément ne le ferait, hormis le petit bonhomme de Pierpaolo, que la punaise observe d’un œil terrorisé.

« The road to hell is paved with good intentions », „Der Weg zur Hölle ist mit guten Vorsätzen gepflastert” disent la même chose avec les mêmes mots. Autrement dit : « Hell is full of good meanings, but heaven is full of good works ».

Cité aussi comme : « Écoute le vent, il chante. Écoute le silence, il parle. Écoute ton cœur, il sait. » Ce proverbe est plus précisément attribué aux Sioux.

Effectivement, le billet est une protection un peu mince pour l’homme effaré dans son accoutrement typique de l’explorateur, qui se retrouve à devoir affronter…